Président de l’AONDH et architecte, Jean-Jacques Virot revient sur le long processus, entamé en 2000, qui a mené à la restauration de la chapelle. Car, avant que le projet ne prenne forme, il a d’abord fallu reconstituer l’Association Œuvre Notre-Dame du Haut.
Jean-Jacques Virot La reconstruction de l’AONDH a effectivement été la première étape après le décès en 2000 de l’abbé René Bolle-Redat, chapelain depuis l’inauguration de la chapelle en 1955. J’ai été contacté par Jean-François Mathey, à l’initiative de cette renaissance. Fils de François Mathey, l’inspecteur des monuments historiques qui avait soutenu la Commission d’art sacré de Besançon pour convaincre Le Corbusier, Jean-François avait cette « mission » à cœur. (article disponible : https://www.lesaffichesdelahautesaone.fr/ronchamp-nous-nous-sommes-inscrits-dans-la-profonde-humanite-du-projet-originel/)
